Folge 9
Série de fantasy – Tchéquie
Année de production : 2001
Durée du film : 50 minutes
Année de production : 2001
Durée du film : 50 minutes
Réalisateur : Viktor Polesný
Livre : Eva Hudečková
Caméra : Josef Špelda
Musique : Milan Kymlička
Livre : Eva Hudečková
Caméra : Josef Špelda
Musique : Milan Kymlička
Description du film :
Loch ness avec Jeannot et le prince se précipite vers le lac. Au bord, Jeannot trouve un vieux bachot. A présent, il ne suffit que pagayer et ils arrivent chez eux. Jeannot perd ses forces et Pravoslav, à la suite de tous les tourments survécus, ne peut plus la sentir. Il la déçoit, une fois de plus. Il ne la croit pas. Le canot se penche, Jeannot tombe dans l’eau, mais le prince ne l’aide point. Il ne sauve que lui-même. Et après tout, ce n’est que lui qui descend, tout seul, au bord.
Il rencontre des gens et comme il a sur son cou le signe de la famille des Nabots, ils le reçoivent en tant que leur roi.
Entre-temps, Jeannot lutte avec un grand poisson. Elle l’embrouille avec son manteau d’araignée et elle a la chance d’atteindre la rive. Entre des arbres, une silhouette mystérieuse apparaît. Lorsqu’elle se tourne, Jeannot reconnaît l’Amour qui s’éloigne d’elle quoique Jeannot le supplie de ne pas la quitter.
Elle traverse une région déserte, sale et écorchée. Qui pourrait deviner en elle la libératrice du prince Pravoslav? Elle rencontre une femme qui creuse déjà la septième tombe. Tous les siens sont morts. Il se peut que même son dernier enfant ne résiste pas à la maladie. Jeannot lui montre une plante susceptible d’aider l’enfant.
Elle arrive au calvaire, tout en priant avec ferveur de ne pas s’aigrir et de persister dans la bonté ... Elle doit encore duper des brigands pour libérer le moine. Elle traverse un bout de pays avec une foule appauvrie et triste représentant une parabole de la vie sur la Terre, pour apprendre enfin, de la bouche d’un chevalier noble, que c’est Pravoslav qui est devenu roi du pays.
Toutes les souffrances qu’elle a vécues lui reviennent dans un cauchemar et Jeannot perd la conscience. Elle revient à elle sur une charrette à ridelles, presque comme à l’époque où l’on la transportait au château de Rozumberk. De nouveau, les comédiens sont là pour donner, cette fois-ci, un spectacle décrivant la libération du prince. C’est une image déformée de la virilité et de la force du prince Pravoslav. La pièce des comédiens se termine par la mort de la princesse qui l’a libéré. Jeannot aimerait bien dire à tous qu’elle ne s’est pas noyée, qu’elle est vivante, mais personne ne la reconnaît point. Ce n’est que le bourreau à qui elle n’est pas inconnue.
Et alors, Jeannot doit revenir en prison. Heureusement, il y encore quelqu’une qui l’a reconnue. C’est Raisonneuse et elle la conduit au roi pour que ce dernier décide de sa vie ou de sa mort.
Lorsque Pravoslav voit que Jeannot est en vie, il s’inquiète en pensant qu’elle voudrait solliciter quelque chose de sa part. Il n’aimerait partager avec elle ni ses biens, ni sa couronne royale. Une fille paysanne ne peut devenir, après tout, une reine ...En échange d’une moitié du royaume qui appartient à elle, il lui donne « généreusement » en cadeau la vie. Jeannot ne reprend que son amulette avec le mille-pertuis. Elle part, libérée, en pleurs, mais avec de la joie de la connaissance. Lorsque Racajda réapparaît devant elle, Jeannot la libère de sa boule en verre et, dans une roulotte, elle s’en va à Boqueteau natal pour pouvoir serrer dans ses bras ceux qu’elle aimait. Tout le monde lui souhaite la bienvenue enthousiaste. Même l’Araignée est la ... Et quant à Pantouflard ? Il est devenu maïeur. Ils ont enfin le temps de se raconter tout. Un boulot énorme les attend. Ils se tiennent par les mains et ils saluent ensemble l’Amour revenant dans le royaume et dans leurs cours.
Il rencontre des gens et comme il a sur son cou le signe de la famille des Nabots, ils le reçoivent en tant que leur roi.
Entre-temps, Jeannot lutte avec un grand poisson. Elle l’embrouille avec son manteau d’araignée et elle a la chance d’atteindre la rive. Entre des arbres, une silhouette mystérieuse apparaît. Lorsqu’elle se tourne, Jeannot reconnaît l’Amour qui s’éloigne d’elle quoique Jeannot le supplie de ne pas la quitter.
Elle traverse une région déserte, sale et écorchée. Qui pourrait deviner en elle la libératrice du prince Pravoslav? Elle rencontre une femme qui creuse déjà la septième tombe. Tous les siens sont morts. Il se peut que même son dernier enfant ne résiste pas à la maladie. Jeannot lui montre une plante susceptible d’aider l’enfant.
Elle arrive au calvaire, tout en priant avec ferveur de ne pas s’aigrir et de persister dans la bonté ... Elle doit encore duper des brigands pour libérer le moine. Elle traverse un bout de pays avec une foule appauvrie et triste représentant une parabole de la vie sur la Terre, pour apprendre enfin, de la bouche d’un chevalier noble, que c’est Pravoslav qui est devenu roi du pays.
Toutes les souffrances qu’elle a vécues lui reviennent dans un cauchemar et Jeannot perd la conscience. Elle revient à elle sur une charrette à ridelles, presque comme à l’époque où l’on la transportait au château de Rozumberk. De nouveau, les comédiens sont là pour donner, cette fois-ci, un spectacle décrivant la libération du prince. C’est une image déformée de la virilité et de la force du prince Pravoslav. La pièce des comédiens se termine par la mort de la princesse qui l’a libéré. Jeannot aimerait bien dire à tous qu’elle ne s’est pas noyée, qu’elle est vivante, mais personne ne la reconnaît point. Ce n’est que le bourreau à qui elle n’est pas inconnue.
Et alors, Jeannot doit revenir en prison. Heureusement, il y encore quelqu’une qui l’a reconnue. C’est Raisonneuse et elle la conduit au roi pour que ce dernier décide de sa vie ou de sa mort.
Lorsque Pravoslav voit que Jeannot est en vie, il s’inquiète en pensant qu’elle voudrait solliciter quelque chose de sa part. Il n’aimerait partager avec elle ni ses biens, ni sa couronne royale. Une fille paysanne ne peut devenir, après tout, une reine ...En échange d’une moitié du royaume qui appartient à elle, il lui donne « généreusement » en cadeau la vie. Jeannot ne reprend que son amulette avec le mille-pertuis. Elle part, libérée, en pleurs, mais avec de la joie de la connaissance. Lorsque Racajda réapparaît devant elle, Jeannot la libère de sa boule en verre et, dans une roulotte, elle s’en va à Boqueteau natal pour pouvoir serrer dans ses bras ceux qu’elle aimait. Tout le monde lui souhaite la bienvenue enthousiaste. Même l’Araignée est la ... Et quant à Pantouflard ? Il est devenu maïeur. Ils ont enfin le temps de se raconter tout. Un boulot énorme les attend. Ils se tiennent par les mains et ils saluent ensemble l’Amour revenant dans le royaume et dans leurs cours.
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