Folge 3
Série de fantasy – Tchéquie
Année de production : 2001
Durée du film : 50 minutes
Année de production : 2001
Durée du film : 50 minutes
Réalisateur : Viktor Polesný
Livre : Eva Hudečková
Caméra : Josef Špelda
Musique : Milan Kymlička
Livre : Eva Hudečková
Caméra : Josef Špelda
Musique : Milan Kymlička
Description du film :
Jeannot se transformait, au cours des années, en une belle fille et comme tout se discutait toujours dans l’auberge des Pintaud à Boqueteau, on y mettait sur le tapis également sa beauté. Il y en a qui se réjouissent de sa transformation, d’autres qui l’envient. Aussi le jeune Pantouflard est-il devenu un beau gars et il attire notamment l’attention d’Elisabeth Pintaud.
Il est la veille au soir de Noël et la paysanne Pintaud apporte à Jeannot ses robes de l’époque de sa jeunesse. C’est le seul cadeau que la fille ait reçu. Alors, dans sa soupente, elle discute au moins avec l’image du prince Pravoslav.
Lorsqu’elle cueillit le gui, elle revoit ses parents courir dans la forêt et elle entend leurs propos concernant une augmentation de leur trésor. Elle ne comprend pas leurs paroles et elle préfère aller aider les Pintaud à préparer une table de fête. La mère la chasse de leur table par peur que Jeannot pourrait leur porter le guignon. Les parents aimeraient mettre la fille au service, le mieux chez le maïeur. Il paraît qu’ils aient besoin de quelqu’un et Jeannot pourrait les aider. Le maïeur et son fils Kvìtoslav la prendraient sur-le-champ, toutefois, sa femme ne le permet pas. Jeannot est triste, elle s’arrête dans la pharmacie où elle reçoit du parrain une amulette avec une fleur de mille-pertuis. « Jadis, on nommait le mille-pertuis l’amour et on dit qu’il est la bête noire du diable. Il se peut qu’il aide également Jeannot », considère le parrain.
Jeannot désire toujours apprendre et Pantouflard l’enseigne donc comme à l’école.
Les Pâques amènent au village des comédiens, cette fois-ci avec la Passion, et Jeannot vit profondément leur spectacle. Peut-être puisqu’elle connaît déjà tant quant aux souffrances. Le soir de printemps, elle rentre, Janek, fils du maïeur, la rejoint et lui demande d’aller a la forêt avec lui pour cueillir une fougeraie dorée magique. Jeannot le refuse.
Il est Vendredi saint qui a dans son pouvoir les destins humains. Les Jíra le savent aussi. Malgré cela, ils partent pour se réjouir de leur trésor. Ils ne s’en doutent pas que Janek les suit. Quand ils rentrent, Janek vole leur marmite avec de l’argent. Les Jíra reviennent pour se persuader, une fois de plus, s’ils ont bien assuré leur fortune. Quelle est leur épouvante lorsqu’ils trouvent leur cachet vide. Les deux le reprochent aux cieux et à la terre. On entend un grondement et les deux disparaissent dans les profondeurs de la terre. Janek, en voyant ce spectacle horrible, s’échappe, en étourdie, de la forêt.
Egalement le voisin Pintaud a vu que les Jíra se sont enfoncés dans la terre. Et c’est à lui de dire à Jeannot ce qui s’est passé. Jeannot a beau chercher ses parents, elle a beau se lamenter sur leur perte Elle cherche une consolation chez l’araignée. Elle reçoit d’elle une belle pèlerine d’araignée et un conseil de penser plus à soi-même qu’aux autres. Jeannot reste seule.
Jeannot cherche du travail, car elle doit bien gagner sa vie. Néanmoins, le pharmacien Chropáè ne peut pas la payer et chez le maïeur on ne veut pas d’elle. Puis Pantouflard vient avec une offre de broder des nappes à l’aubergiste. Jeannot, tout heureuse d’avoir du travail, ne se rend même pas compte qu’il pleut fort depuis quelques jours. Il est vrai qu’elle a terminé son travail, mais lorsqu’elle voit une inondation qui ravage le pays, elle se rend compte avec horreur que l’araignée et ses enfants peuvent se noyer dans la fosse. Pour cette raison, elle court tout d’abord les sauver. L’aubergiste Pintaud voit de belles nappes, elle s’attendrit et elle propose à Jeannot de travailler chez eux à l’auberge.
Il est la veille au soir de Noël et la paysanne Pintaud apporte à Jeannot ses robes de l’époque de sa jeunesse. C’est le seul cadeau que la fille ait reçu. Alors, dans sa soupente, elle discute au moins avec l’image du prince Pravoslav.
Lorsqu’elle cueillit le gui, elle revoit ses parents courir dans la forêt et elle entend leurs propos concernant une augmentation de leur trésor. Elle ne comprend pas leurs paroles et elle préfère aller aider les Pintaud à préparer une table de fête. La mère la chasse de leur table par peur que Jeannot pourrait leur porter le guignon. Les parents aimeraient mettre la fille au service, le mieux chez le maïeur. Il paraît qu’ils aient besoin de quelqu’un et Jeannot pourrait les aider. Le maïeur et son fils Kvìtoslav la prendraient sur-le-champ, toutefois, sa femme ne le permet pas. Jeannot est triste, elle s’arrête dans la pharmacie où elle reçoit du parrain une amulette avec une fleur de mille-pertuis. « Jadis, on nommait le mille-pertuis l’amour et on dit qu’il est la bête noire du diable. Il se peut qu’il aide également Jeannot », considère le parrain.
Jeannot désire toujours apprendre et Pantouflard l’enseigne donc comme à l’école.
Les Pâques amènent au village des comédiens, cette fois-ci avec la Passion, et Jeannot vit profondément leur spectacle. Peut-être puisqu’elle connaît déjà tant quant aux souffrances. Le soir de printemps, elle rentre, Janek, fils du maïeur, la rejoint et lui demande d’aller a la forêt avec lui pour cueillir une fougeraie dorée magique. Jeannot le refuse.
Il est Vendredi saint qui a dans son pouvoir les destins humains. Les Jíra le savent aussi. Malgré cela, ils partent pour se réjouir de leur trésor. Ils ne s’en doutent pas que Janek les suit. Quand ils rentrent, Janek vole leur marmite avec de l’argent. Les Jíra reviennent pour se persuader, une fois de plus, s’ils ont bien assuré leur fortune. Quelle est leur épouvante lorsqu’ils trouvent leur cachet vide. Les deux le reprochent aux cieux et à la terre. On entend un grondement et les deux disparaissent dans les profondeurs de la terre. Janek, en voyant ce spectacle horrible, s’échappe, en étourdie, de la forêt.
Egalement le voisin Pintaud a vu que les Jíra se sont enfoncés dans la terre. Et c’est à lui de dire à Jeannot ce qui s’est passé. Jeannot a beau chercher ses parents, elle a beau se lamenter sur leur perte Elle cherche une consolation chez l’araignée. Elle reçoit d’elle une belle pèlerine d’araignée et un conseil de penser plus à soi-même qu’aux autres. Jeannot reste seule.
Jeannot cherche du travail, car elle doit bien gagner sa vie. Néanmoins, le pharmacien Chropáè ne peut pas la payer et chez le maïeur on ne veut pas d’elle. Puis Pantouflard vient avec une offre de broder des nappes à l’aubergiste. Jeannot, tout heureuse d’avoir du travail, ne se rend même pas compte qu’il pleut fort depuis quelques jours. Il est vrai qu’elle a terminé son travail, mais lorsqu’elle voit une inondation qui ravage le pays, elle se rend compte avec horreur que l’araignée et ses enfants peuvent se noyer dans la fosse. Pour cette raison, elle court tout d’abord les sauver. L’aubergiste Pintaud voit de belles nappes, elle s’attendrit et elle propose à Jeannot de travailler chez eux à l’auberge.
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