Folge 1
Série de fantasy – Tchéquie
Année de production : 2001
Durée du film : 50 minutes
Année de production : 2001
Durée du film : 50 minutes
Réalisateur : Viktor Polesný
Livre : Eva Hudečková
Caméra : Josef Špelda
Musique : Milan Kymlička
Livre : Eva Hudečková
Caméra : Josef Špelda
Musique : Milan Kymlička
Description du film :
Des femmes arrivent à un champ de bataille pour chercher, parmi les soldats péris, leurs maris, elles déplorent les morts. La reine Blanchine, duchesse des armées de fer, passe avec un sourire triomphant. Une bataille cruelle vient de se terminer et la reine remercie la déesse Krutoslava pour sa victoire. Elle promet à la déesse d’accomplir tous ses désirs à condition qu’elle aura des chances de guerre de son coté. Le malheur des veuves n’attendrit pas Blanchine. Elle est accompagnée de son chevalier fidèle Vagabond.
Le château fort Rozumberak annonce une nouvelle joyeuse. Le roi Maxmilien et la reine Blanchine ont mis au monde un fils, le prince Pravoslav. Des foules d’asservis affluent du royaume tout entier pour apporter des cadeaux au prince. Parmi eux aussi des voisins du village proche de Boqueteau.
Il y a aussi un invité peu habituel et pas très souvent rencontré – l’Amour. Il a apporté au nouveau-né au berceau un bouquet de mille-pertuis. Certains se courbent pour ramasser quelques fleurs, parmi eux la paysanne Motteux et le parrain Chropáè ...Le roi, aussi bien que la reine, sont offensés par un cadeau aussi commun. Ils enlèvent le bouquet du berceau du prince et ils chassent l’Amour du pays, sans se douter quels malheur ils attirent à leur royaume. Le roi finit par interdire l’Amour dans son royaume.
D’un coup, une tonnerre retentit, des pas lourds résonnent et avant que tout le monde ne se ressaisisse, le berceau est vide. Le roi a beau de chercher son fils. La magicienne Racajda lui fait savoir que la déesse Krutoslava a opté pour le don de la reine et qu’elle a amené le bébé à son château fort. Ce n’est que l’Amour qui peut le sauver. Le roi en rage veut faire taire la magicienne et il l’emprisonne dans une boule en cristal. Cependant, il n’est pas possible de faire taire la vérité et alors, Racajda va apparaître toujours la où la vérité doit venir au jour.
Dans l’auberge des Pintaud, nous faisons la connaissance de tous les habitants de la petite commune. Ils passent en revue tout ce qui s’est passé au château fort. Lorsque les avares Jíra reviennent le soir de l’auberge, ils suivent avec envie leurs voisins Pintaud et leurs enfants et voilà Jírová d’ouvrir son cour en disant qu’elle voudrait aussi un enfant. Elle voit une étoile tombante et elle supplie tellement d’avoir un bébé qu’elle devient enceinte.
Cependant, elle ne s’en contente pas. Elle ne veut pas uniquement un enfant, elle veut un garçon, elle veut égaler les Pintaud. Et quel effroi règne dans la fermette des Jíra lorsque la maman constate qu’elle a mis au monde une fille. Jíra, pour jouir d’une tranquillité, résout le rage de sa femme à sa façon : » ...On va l’appeler Jeannot et on va dire à tout le monde que c’est un garçon. ». Ce ne sont que les parques qui connaissent la vérité en sachant ce qu’elles doivent donner en cadeau à Jeannot pour survivre tous les tracas lesquels l’attendent dans la vie. Ce sont ses parents qui sont à l’origine de ses premières expériences pénibles. A la maison, Jeannot travaille du matin au soir, sans louange, sans amour. Personne ne la protége des moqueries des enfants du voisinage. Rien et personne ne l’aide non plus lorsque les épouvantes – gosses des Motteux – la poussent, le soir de Saint-Jean, vers une Fosse de Diable, mystérieuse et redoutée.
Le château fort Rozumberak annonce une nouvelle joyeuse. Le roi Maxmilien et la reine Blanchine ont mis au monde un fils, le prince Pravoslav. Des foules d’asservis affluent du royaume tout entier pour apporter des cadeaux au prince. Parmi eux aussi des voisins du village proche de Boqueteau.
Il y a aussi un invité peu habituel et pas très souvent rencontré – l’Amour. Il a apporté au nouveau-né au berceau un bouquet de mille-pertuis. Certains se courbent pour ramasser quelques fleurs, parmi eux la paysanne Motteux et le parrain Chropáè ...Le roi, aussi bien que la reine, sont offensés par un cadeau aussi commun. Ils enlèvent le bouquet du berceau du prince et ils chassent l’Amour du pays, sans se douter quels malheur ils attirent à leur royaume. Le roi finit par interdire l’Amour dans son royaume.
D’un coup, une tonnerre retentit, des pas lourds résonnent et avant que tout le monde ne se ressaisisse, le berceau est vide. Le roi a beau de chercher son fils. La magicienne Racajda lui fait savoir que la déesse Krutoslava a opté pour le don de la reine et qu’elle a amené le bébé à son château fort. Ce n’est que l’Amour qui peut le sauver. Le roi en rage veut faire taire la magicienne et il l’emprisonne dans une boule en cristal. Cependant, il n’est pas possible de faire taire la vérité et alors, Racajda va apparaître toujours la où la vérité doit venir au jour.
Dans l’auberge des Pintaud, nous faisons la connaissance de tous les habitants de la petite commune. Ils passent en revue tout ce qui s’est passé au château fort. Lorsque les avares Jíra reviennent le soir de l’auberge, ils suivent avec envie leurs voisins Pintaud et leurs enfants et voilà Jírová d’ouvrir son cour en disant qu’elle voudrait aussi un enfant. Elle voit une étoile tombante et elle supplie tellement d’avoir un bébé qu’elle devient enceinte.
Cependant, elle ne s’en contente pas. Elle ne veut pas uniquement un enfant, elle veut un garçon, elle veut égaler les Pintaud. Et quel effroi règne dans la fermette des Jíra lorsque la maman constate qu’elle a mis au monde une fille. Jíra, pour jouir d’une tranquillité, résout le rage de sa femme à sa façon : » ...On va l’appeler Jeannot et on va dire à tout le monde que c’est un garçon. ». Ce ne sont que les parques qui connaissent la vérité en sachant ce qu’elles doivent donner en cadeau à Jeannot pour survivre tous les tracas lesquels l’attendent dans la vie. Ce sont ses parents qui sont à l’origine de ses premières expériences pénibles. A la maison, Jeannot travaille du matin au soir, sans louange, sans amour. Personne ne la protége des moqueries des enfants du voisinage. Rien et personne ne l’aide non plus lorsque les épouvantes – gosses des Motteux – la poussent, le soir de Saint-Jean, vers une Fosse de Diable, mystérieuse et redoutée.
Garçons acteurs
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