Heiners Filmseiten – Je suis heureux que ma mère soit vivante (fr)

Je suis heureux que ma mère soit vivante

Titre anglais : I’m Glad That My Mother Is Alive
Titre allemand : Je suis heureux que ma mère soit vivante (Ich bin froh, dass meine Mutter lebt)
Titre russe : Я счастлив, что моя мать жива
Titre original : Je suis heureux que ma mère soit vivante

Titres alternatifs :
I’m Glad My Mother Is Alive

Drame de famille – France
Année de production : 2008
Durée du film : 90 minutes

Réalisateur : Claude Miller, Nathan Miller
Livre : Claude Miller, Nathan Miller, Emmanuel Carrère

Je suis heureux que ma mère soit vivante

Description du film :

Thomas, un adolescent adopté et mal dans sa peau, se met en quête de son passé pour comprendre pourquoi sa mère l’a abandonné, en compagnie de son frère, lorsqu’il avait 4 ans. Il cherche alors sa mère sans en parler ni à son frère ni à ses parents adoptifs. Il découvre alors qu’elle n’est plus avec son père biologique, qu’elle a eu un troisième fils avec un autre homme et qu’elle vit désormais seule avec cet autre garçon qu’elle n’a pas abandonné.

Un couple adopte Thomas, 7 ans, et son jeune frère. Le petit se fait vite à sa nouvelle vie. Pas Thomas, boule de rancoeur qui a mal et donc fait mal. Son obsession, c’est de retrouver sa mère, la vraie, et de comprendre, enfin, ce qu’ils ont fait, son frère et lui, pour être ainsi abandonnés. Il s’installe chez elle; elle est d’abord réticente, puis amusée par ce fils presque oublié, ce jeune homme plutôt beau qui, curieusement, s’occupe des tâches ménagères et même de l’éducation de son demi-frère, qu’il a pris en amitié...

Notre identité est un vêtement dont notre enfance a dessinée les coutures. La présence de ceux qui nous ont élevés, nos parents, a été fondatrice de ce que nous sommes. Mais que se passe-t-il quand il s’agit d’absence ? C’est une des questions posées par notre histoire. Entre 7 et 20 ans, Thomas a recherché Julie, sa mère biologique. A l’insu de ses parents adoptifs, il va retrouver cette femme qui l’a abandonné à 4 ans et commencer auprès d’elle une »double vieÂ«. Mais »qui a deux maisons perd la raison...« dit le proverbe.

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